Le « lieu d’Abraham » est soit à La Mecque selon l’islam, soit à Jérusalem selon la Bible. Ces deux traditions sont incompatibles entre elles. Or le texte coranique semble légitimer la tradition biblique…
Auteur : Odon Lafontaine (Olaf)
L’étude rigoureuse du texte coranique démentit la prétention au « miracle scientifique » de la « barrière entre les deux mers ». Plus encore, elle contredit frontalement le discours musulman sur l’existence de La Mecque.
Les découvertes de la recherche permettent désormais d’affirmer que le discours de l’islam sur le Coran est faux. Il ne s’agit pas d’un texte proclamé par une personne au début du VIIe siècle, mais d’un écrit composite, hétérogène, composé sur une très longue période et par plusieurs auteurs
Le débat au sujet de « Marie, soeur d’Aaron » passe à côté du sens profond du texte coranique, montrant que les apologètes musulmans ne comprennent pas le Coran et qu’ils se révèlent capables d’inventer tout et n’importe quoi pour prétendre le contraire.
L’étude critique de la tradition orale supposée qui aurait permis la transmission des hadiths révèle en fait que l’on a à faire non à une tradition orale mais bel et bien à une tradition écrite.
Le climat et la géographie de La Mecque sont la cause d’inondations très importantes, rares mais régulières. Il semble donc inimaginable qu’une ville ait pu être fondée dans un tel site depuis la plus haute Antiquité, et encore plus inimaginable de concevoir qu’elle ait pu y perdurer et y prospérer.
Des fouilles très profondes du sous-sol de la Mecque ont été réalisées. Elles n’ont rien exhumé d’ancien.
La critique musulmane de l’authenticité de la Bible est un terrain miné et très dangereux pour la foi islamique : s’y aventurer sérieusement, c’est risquer de voir exposées ses contradictions et la mystification de l’histoire à laquelle a procédé la tradition musulmane au fil des siècles pour créer sa propre religion, l’islam.