Le « lieu d’Abraham » est soit à La Mecque selon l’islam, soit à Jérusalem selon la Bible. Ces deux traditions sont incompatibles entre elles. Or le texte coranique semble légitimer la tradition biblique…
Catégorie : La religion islamique
L’apologétique islamique fonctionne auprès des musulmans eux-mêmes comme une grande mystification, préférant les laisser dans un état d’ignorance vis-à-vis de leur religion que de prendre le risque de les voir poser des questions interdites.
L’étude rigoureuse du texte coranique démentit la prétention au « miracle scientifique » de la « barrière entre les deux mers ». Plus encore, elle contredit frontalement le discours musulman sur l’existence de La Mecque.
Les découvertes de la recherche permettent désormais d’affirmer que le discours de l’islam sur le Coran est faux. Il ne s’agit pas d’un texte proclamé par une personne au début du VIIe siècle, mais d’un écrit composite, hétérogène, composé sur une très longue période et par plusieurs auteurs
Le Coran est un texte composite, décousu, et rempli de contradictions internes. Cet article en présente certaines sous forme d’images à partager sur les réseaux
Le débat au sujet de « Marie, soeur d’Aaron » passe à côté du sens profond du texte coranique, montrant que les apologètes musulmans ne comprennent pas le Coran et qu’ils se révèlent capables d’inventer tout et n’importe quoi pour prétendre le contraire.
Le concept même de la qibla, de la direction unique de la prière rituelle vers La Mecque n’a pas de sens du point de vue de la géomètrie. Ce qui fait s’effondrer davantage encore la crédibilité de l’islam.
Qu’est-ce qu’un catholique peut-il penser de l’islam et des musulmans ?
Au XIIème siècle circulait encore dans l’Espagne musulmane un Coran présentant un découpage en 124 sourates, différent du découpage en 114 que présente l’édition du Caire de 1924, dite « canonique ».
L’étude critique de la tradition orale supposée qui aurait permis la transmission des hadiths révèle en fait que l’on a à faire non à une tradition orale mais bel et bien à une tradition écrite.